dimanche 31 octobre 2010

Sommeil et perte de masse musculaire en situation de perte de poids

Avoir la capacité de bâtir de la masse musculaire est un atout en ce monde du culte et de la beauté qui est celui de notre société. Que vous vouliez avoir l'apparence de Brad Pitt ou de Megan Fox, une bonne masse musculaire est essentielle pour une apparence impeccable. Beaucoup de gens, pour ne pas viser les femmes, ne comprennent pas, ou ne veulent tout simplement pas comprendre, que plus importante en proportion est votre masse maigre («muscle»), plus bas sera votre pourcentage de gras.

Faible % de gras = belle composition corporelle = «Nice shape» 
Donc hypertrophie (augmentation) musculaire =  diminution du % gras = «Nice shape»
Et oui, même pour les femmes! Et vous n'aurez pas l'air de HULK, ne vous en faites pas.

Il va donc sans dire que de maintenir notre masse musculaire est excessivement important. C'est ce qui soulevé en moi une question très intéressante:

Le sommeil a-t-il un impact sur la masse musculaire?

Depuis quelques années, nous pouvons observer une diminution du temps de sommeil ainsi qu'une augmentation accrue de l'obésité en Amérique du Nord. Un lien a en effet été tiré entre ces deux variables. Pouvons-nous cependant affirmer que le manque de sommeil crée pour ainsi dire une perte de masse musculaire. Bien sûr que non. Il ne s'agit là que d'un lien de corrélation.

Cependant, une très récente étude a pu démontrée qu'un manque de sommeil avait un impact considérable sur la perte de masse musculaire et quant à la diminution de l'oxydation des graisses. Cette étude publiée dans le Annals of Internal Medicine (Octobre 2010) a comparé deux groupes dans le but d'évaluer l'impact d'une diminution du temps de sommeil (8,5 heures vs. 5,5 heures) sur la composition corporelle.
“We examined whether experimental sleep restriction, designed to approximate the short sleep times of a growing number of persons in modern society, may compromise the effect of reduced-calorie diets on excess adiposity [...]. The combination of energy and sleep restriction in overweight adults resulted in a modified state of negative energy balance characterized by a decreased loss of fat and considerably increased loss of fat-free body mass. Our experimental data now indicate that sleep plays an important role in the preservation of human fat-free body mass during periods of reduced caloric intake.”
La communauté scientifique a mis en évidence de façon très claire la corrélation entre le manque de sommeil et la perte de poids. Un manque de sommeil rend une perte de poids très difficile à réaliser, puisqu'il a un impact direct sur deux hormones reliées à la régulation de l'appétit. En l'occurance la leptine et la ghréline. (Si vous ameriez avoir plus d'information sur le sujet, indiquez-le moi dans la section commentaire qui fait suite à l'article).

Ce qui rend l'étude en question si intéressante est qu'elle démontre un lien direct entre le manque de sommeil et  la perte de masse maigre en situation de restriction calorique.

Ainsi, il semblerait que pendant une période de restriction calorique, un manque de sommeil entraînerait une réaction métabolique, neuro-endocrinienne et comportementale qui rendraient vos tentatives de perte de poids excessivement difficiles.

En de termes plus clairs :
Un manque de sommeil rend une perte de poids difficile.
Mais un manque de sommeil en période de restriction calorique rend une perte EXCESSIVEMENT difficile.

Gardez ainsi en tête que tout n'est pas une question de chiffre. Il n'est pas si simple de perdre du poids que de dépenser plus de calories qu'on en ingère. Plusieurs variables ont un impact très important sur la possibilité d'oxyder un maximum de gras. C'est bien beau une perte de poids, mais ce que nous visons n'est pas plutôt une perte de gras dans le but d'obtenir une composition corporelle digne de vos rêves. Pour cela il vous faut votre MASSE MUSCULAIRE.

C'est pourquoi vos professionnels de la santé tels que votre kinésiologue, nutritionniste ou médecin vous parlent constamment d'avoir de saines habitudes de vie.

Voici quelques facteurs qui auront des effets similaires au manque de sommeil:

  • Stress
  • Mauvaise alimentation (qualité)
  • Manque de récupération suite à vos entraînements

dimanche 24 octobre 2010

Contrôler son appétit, gérer ses cravings...enfin!

Il va sans dire que de contrôler son appétit n'est pas si simple que ça. Beaucoup peuvent penser que de bien manger n'est pas si difficile qu'il le faut, mais c'est sans prendre en considération ce que subit le corps suite à d'importants changements concernant les habitudes de vie alimentaires. La grande majorité d'entre vous avez certainement déjà tenté une diète alimentaire, que ce soit de couper les glucides (le bon vieux pain-pâtes-patate), d'intégrer plus de protéines ou de couper les calories de façon importante. Même changer ses mauvaises habitudes alimentaires pour faire des choix sains n'est pas chose facile.

Consolez-vous, vous êtes normal!
Certains vous accuseront d'être gourmand et de manquer d'effort. Ces derniers ne sont certainement pas dans la même situation que vous. Mais consolez vous, la communauté scientifique a trouvé une solution qui vous permettra de gérer vos problèmes d'appétit dans l'optique d'une saine alimentation!

Protéine de lactosérum
De la bonne vieille protéine Whey! Qui aurait pensé que de la bonne vieille poudre de protéine aurait pu vous aidé à contrôlé votre appétit dans une optique de perte de poids et de gras? Et bien, PalVeldhorst et Akhavan ainsi que leur équipe ont tous trois démontrés que les résultats étaient significatifs.

Plusieurs études dont celles-ci ont permis de démontrer que la bonne vieille protéine de lactosérum était plus efficace pour contrôler l'appétit que d'autres sources de protéines, que certaines sources de glucides ou même de fibres. Elle permettrait d'ailleurs d'améliorer le contrôle de l'appétit pour 1 à 4 heures après son ingestion.

Meilleure réponse à l'insuline et meilleur contrôle de l'appétit  
L'une des études qui démontre ces dires a été réalisée en Australie. 22 hommes ont participé à une étude qui comparait l'ingestion d'une boisson de lactosérum isocalorique à du thon, de la dinde et des oeufs 4 heures avant de les présenter à un buffet. Comme le titre l'indique, les participants ayant consommé la protéine de lactosérum (whey) ont démontré un appétit plus faible que les autres participants lors du buffet en plus d'afficher une meilleure réponse à l'insuline.

Ainsi, pour la même quantité de calories, la protéine Whey semble permettre un meilleur contrôle de l'appétit que les autres sources de protéine.

Whey - Soya - Caséine?
Basée sur la sécrétion d'hormones contrôlant la satiété, une autre études des Pays-Bas a de son côté permis de démontrer que la protéine Whey était le type de protéine en poudre qui permettait le meilleur contrôle de l'appétit intégrée à un repas. Mais jusqu'à un certain point, et voici pourquoi.

Deux types de repas ont été comparés:

  1. 10-55-35% (protéines - glucides - gras)   
  2. 25-55-20% (protéines - glucides - gras)
Pour le repas 1 (10-55-35 %), la protéine de lactosérum (whey) démontre un meilleur contrôle de l'appétit alors que pour le repas 2 (25-55-20 %) il n'y a aucune différence entre les 3 types de protéine. Toujours selon l'étude, le tout serait attribuable à une plus importante libération d'acides aminés dans le sang. Ainsi, en proportion plus petite (10-55-35 %), l'ingestion d'un repas contenant la protéine whey permettrait d'obtenir une concentration sanguine d'acides aminés plus importante que les autres types de protéines. Il n'y aurait toutefois pas de différence quant à une concentration plus importante (25-55-20 %).  

Finalement, une dernière étude a démontrée que la protéine de lactosérum était bien plus efficace que l'ingestion de sucre, que ce soit sous forme solide ou liquide dans le contrôle de l'appétit. 

Bref, notez bien que la protéine de lactosérum (whey) est un outil qui pourrait grandement vous aider à contrôler votre appétit dans une perspective de perte de poids et pour un mode de vie sain. Il ne s'agit peut-être pas de la solution miracle à tous vos problèmes, mais elle pourrait néanmoins s'avérer être le petit coup de pouce qui vous manquait afin de réussir votre changement de mode de vie alimentaire. 

Si vous voulez avoir des résultats plus spectaculaires, je vous recommande grandement de jumeler le tout à de saines habitudes de vie en terme d'activité physique. Bouger et bien manger pour des résultats spectaculaires.
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lundi 11 octobre 2010

Posturologie et douleur : Pourquoi ne règle-t-on pas le problème une fois pour toute

La semaine dernière, je vous ai introduit à la recalibration posturale globale  en vous faisant part de ses utilités, de l’étendue de ses impacts sur les pathologies et du fonctionnement du capteur oculaire.

Cette semaine, le capteur podale fera l’objet d’une analyse, afin que vous compreniez les subtilités dans lesquelles le cerveau humain nous plonge.

Pourquoi ne règle-t-on jamais le problème à long terme 

Premièrement, il faut mettre en perspective le fait que ce n’est pas seulement les capteurs podales qui nous indiquent des informations, tel que, le type de sol sur lequel nous marchons, mais aussi les *fascias (voir plus bas), qui ont bien en mémoire les patrons moteurs de notre démarche ou plutôt notre posture maintenue depuis la tendre enfance. C’est la raison pour laquelle les ajustements conventionnels que les chiropraticiens ou physiothérapeutes pratiquent sur leurs patients ne corrigent pas nécessairement complètement les pathologies. Prenons l’exemple d’un client de 50 ans avec des compressions lombaires L5- S1 (maux de dos), le cas classique. Il se rend chez le chiropraticien, celui-ci passe les radiographies et voit bien que ces mêmes vertèbres sont atrophiées voir même affaissées. Il procèdera alors à des ajustements au niveau des vertèbres lésées et le client ressentira un soulagement  parfois immédiat, parfois subséquent. Aussitôt que le patient se lève de la table chiropratique et fait quelques pas, la mémoire des fascias retransmet 50 ans de stature et de positions désordonnées qui ne demandent qu’à retourner en position habituelle. C’est alors que l’on voit les mêmes bascules au niveau des épaules et du bassin. Les rotations du cou sont aussi pénibles qu’avant et les épaules sont toujours en rotation. Les compressions lombaires que nous avions résolues sont dès lors déjà revenues. Pourtant, le chiro les avait bel et bien corrigées quelques secondes auparavant.

Il faut comprendre que le corps est régi par des *intérocepteurs et des *extérocepteurs qui ont pour but de contrer la gravité, de maintenir une position stable ainsi que de structurer et organiser la posture lors du commencement des mouvements. Le capteur podale est celui qui est en lien direct avec le sol, donc il renseigne constamment le cerveau sur l’environnement qui l’entoure.

Le cerveau crée-t-il des déséquilibres posturaux? 

Le problème est que dans les sociétés actuelles, nous prenons tous les moyens pour désensibiliser ce capteur. Sans s’en rendre compte, nous donnons des informations erronées au cerveau, qui à long terme nous crée des déséquilibres. Comment est-ce possible?

Commençons par les chaussures. Les compagnies comme Nike et Adidas se bousculent pour introduire les souliers qui réduiront les chocs et qui augmenteront le coefficient d’absorption. Alors que tous pensent détenir la perle rare, en fait, ils détiennent une bombe à retardement qui ne fait qu’accélérer la désensibilisation des capteurs podales. De plus, des supports d’arches et des semelles beaucoup trop hautes réduisent davantage l’information provenant du contact avec le sol.

Le corps humain est bâti pour absorber des chocs. Nous avons des structures articulaires et vertébrales tellement bien organisées avec une machine de contrôle autonome incroyable. Il faut laisser les structures absorbantes faire leur travail, sans quoi elles deviennent lâches et perdent de leur efficacité. Ajoutez à cela les déséquilibres posturaux et vous obtenez la recette parfaite pour toutes sortes de pathologies.

* Facias : Un fascia est une membrane fibreuse qui recouvre ou enveloppe une structure anatomique.
*  Intérocepteur : Récepteur sensitif recevant les excitations venues de l'intérieur du corps.
* Extérocepteur : Terminaison nerveuse sensorielle située sur la peau ou sur une muqueuse et qui recueille les excitations venant du milieu ambiant.

La semaine prochaine : comment corriger l’œil et le pied pour un axe visio-podale parfait.
Bonne semaine et au plaisir.
Gabriel Roy Lehoux, B. Sc.
Kinésiologue
514-984-0355 
roy_lehoux_gabriel@hotmail.com

J'espère que vous avez apprécié cette nouvelle façon présenter la posture ainsi que sa correction. Il va sans dire que cette vision du corps humain peut effrayer plusieurs professionnels de la santé, car la posturologie traite le corps humain différemment. 

Je tiens toutefois à spécifier que toute profession a sa place dans notre société et que chacun d'entre eux a son utilité et sa spécialité. Le problème à ce jour est que nous ne travaillons pas assez en multi-disciplinarité. J'ai travaillé, en tant que kinésiologue, de paire avec des chiropraticiens (Jonathan Raymond) ainsi que des physiothérapeutes en appliquant des principes de posturologie  tels ceux expliqués au sein du texte précédent et laissez-moi vous dire que les résultats sont plutôt spectaculaires.

Ceci dit, la posturologie tend à régler des cas que beaucoup de professionnels de la santé ne sont pas capable de soigner, guérir ou soulager à long terme. Voilà en quoi la posturologie est complémentaire des autres disciplines. 

dimanche 3 octobre 2010

La posturologie, pour une rééquilibration posturale globale

Je suis bien content de vous présenter un article écrit par un de mes collègues au baccalauréat en kinésiologie. L'article de cette semaine est des plus passionnant puisqu'il vous concerne tous. Il a d'ailleurs été écrit par un kinésiologue qui est sur le point de révolutionner le monde du traitement de la douleur au Québec. Gabriel Roy-Lehoux est un pionnier en tant que kinésiologue en ce qui a trait à la posturologie et je dois vous avouer que nous sommes privilégié de pouvoir bénéficier de son expertise.


La posturologie, pour une rééquilibration posturale globale

J’ai réalisé l’envergure des explications que j’aurais à vous témoigner via ce billet, seulement lorsque j’ai tapé le mot posturologie sur Word et qu’on m’indiquait une erreur de frappe.

Très peu connu en Amérique du nord, en Europe les gens font la file chez les posturologues pour des problèmes de toutes sortes. Qu’on pense aux douleurs inflammatoires, aux blocages vertébraux, aux scolioses, à la vraie jambe courte, aux hernies discales, à la fibromyalgie, aux vertiges et même aux migraines, la posturologie intervient dans un vaste réseau de pathologie. La raison est fort simple, la posturologie traite les causes et non les symptômes. Quand on y pense vraiment c’est logique et lorsque je me retrouve avec des clients, l’explication ne dure pas très longtemps, puisque l’évidence saute aux yeux.

Prenez  par exemple une personne qui fait une tendinite sévère au coude droit. Elle ne pratique aucun sport, n’a aucun antécédent de blessure et du jour au lendemain elle se retrouve avec une inflammation des muscles épicondyliens. En physiothérapie on donnera des exercices pour détendre la région affectée ou encore pour renforcer les muscles synergistes afin que ceux-ci prennent la relève des muscles enflammés, par exemple. Les chiropraticiens vous feront des  ajustements où il y a compression ou restriction articulaire, afin que le flux sanguin circulatoire irrigue l’articulation normalement. Dans la plupart des cas, si vous consultez un professionnel compétent, la douleur s’en ira dans les semaines qui suivront, si vous continuez le traitement. Mais, alors pourquoi plus de 80% des inflammations tendineuses reviennent suite à une correction complète. Que ce soit 4 mois, ou 10 ans plus tard, on ne devrait pas avoir à traiter une récidive, puisque cela implique que nous n’avons pas fait notre travail.


En posturologie, voici les 5 questions nous permettant de déterminer quel capteur devrait être corrigé pour obtenir des résultats optimaux :
  1.           Depuis quand?
  2.           Permanent ou intermittent?
  3.           La région de la douleur (haute ou basse)
  4.           L’horaire (plus en soirée ou le matin en se levant par exemple)
  5.           Et votre latéralité (gauche/droite)
Les capteurs
Pour comprendre les capteurs, ont doit définir ce qu’est la posturologie dans son sens large. C’est l’équilibre segmentaire et articulaire de nos membres dans l’espace qui est régit par la gravité, influencé par les forces externes et contrôlé dans le mouvement grâce aux facteurs internes. Nous avons différents types de capteurs qui nous donnent ces informations :
  • Les extérocepteurs : les yeux, la peau
  • Les propriocepteurs : yeux, système somato-sensoriel
  • Centres supérieurs : système nerveux central

Dans cet article, nous nous attarderons seulement au capteur oculaire et au capteur podale (pied), puisqu’ils sont impliqués dans plus de 85% des résultats d’une correction complète. Les capteurs restants sont la mandibule (mâchoire), la peau cicatricielle et les muscles.

Capteur occulaire
L’œil calcule l’espace temps (vitesse), il nous renseigne sur les verticales dans l’espace et lorsqu’on dénote des problèmes oculaires comme le strabisme et les troubles de divergence et de convergence, il faut s’interroger si cela peut influencer notre capacité à être bien équilibré. En fait, oui cela influence, énormément, puisque si nous avons une information erronée provenant de l’œil qui donne ensuite l’information aux aires visuelles dans le cerveau, le cerveau devra alors s’ajuster pour que l’équilibre du corps persiste. Dans la majorité des cas, pouvons observer une divergence ou une convergence oculaire, c’est-à-dire un déficit musculaire des muscles latéraux de l’œil,  ce qui fait en sorte que les yeux ne forment pas deux entités alignés en même temps lorsqu’on porte le regard vers les verticales ou la vitesse.

Le cerveau étant un exemple merveilleux de réaction en chaîne adaptative préférera déplacer les épaules en rotation, basculer le bassin complètement vers le bas et compresser les vertèbres cervicales et lombaires pour compenser les troubles oculaires. Donc, étant donné que plus de 90% de la population présente des troubles oculaires évidents, il ne faut pas se surprendre que la maladie du siècle soit le mal de dos. Une accumulation de désordres posturaux vont accentuer les compressions et les torsions au niveau des vertèbres, pour en arriver à des pathologies typiques comme les hernies discales. Ajoutez à cela les activités quotidiennes qui sont souvent très mal exécutées et le manque flagrant d’activité physique des sociétés d’aujourd’hui et vous avez une jolie recette pour d’éventuels problèmes ou blessures. En plus d’un soupçon de dysfonction du système médical et vous vous trouvez avec une intervention chirurgicale avant même que quiconque se pose la question pourquoi avez- vous des lésions de quelqu’un qui aurait chuté de 10 étages, alors que vous passez plus de 80 heures par semaine assis sur vos fesses.

Il faut se souvenir d’une chose. Ce ne sont jamais nos activités qui sont la finalité de nos pathologies. Ce sont les capteurs qui sont dysfonctionnels qui créent des déséquilibres posturaux et qui ensuite par nos activités quotidiennes induisent des lésions.

La semaine prochaine sera celle du capteur podale et je commencerai à vous introduire comment on corrige les capteurs.

Bonne semaine!!!

Gabriel Roy Lehoux
B. Sc. 
Kinésiologue

N.B : Pour les spécialistes qui pourraient se sentir offusqués de mon point de vue, je ne dénigre en rien ce que vous faites et je crois sincèrement à vos manipulations, par contre j’estime que traiter le symptôme devrait toujours venir après, en complément de la posturologie qui traite la cause.